Plus de la moitié disent être familiers
avec le rapport du commissaire de l’éthique concernant la situation SNC-Lavalin
Une proportion similaire dit que ce rapport
n’affectera pas leur vote
Toronto, le 6 septembre 2019 – Lors d’un sondage
d’opinion publique de sélection aléatoire mené par The Forum Poll™ parmi 1 219 électeurs Québécois, plus de la
moitié (TOP2 : 55%) disent être familiers avec le rapport du commissaire
de l’éthique concernant la situation SNC-Lavalin déposé en aout 2019, avec un
quart qui disent être très familiers.
Un peu plus de 4 sur 10 (BTM2 : 45%) disent
ne pas être familiers avec ce même rapport, avec un quart (28%) qui disent
qu’ils ne sont pas du tout familiers avec le rapport.
Les répondants les plus susceptibles de dire
qu’ils sont familiers avec le rapport (TOP2) incluent ceux qui ont entre 55 et
65 ans (70%), les hommes (67%), ceux qui supportent le PQ (59%) ou la CAQ
(60%), ceux qui supportent les conservateurs au fédéral (62%), ceux qui
habitent la Ville de Québec (68%), et ceux qui ont un revenu familial entre 100,000
$ et 250,000 $ (68%).
Les répondants les plus susceptible de dire
qu’ils ne sont pas familiers avec le rapport (BTM2) sont ceux qui ont 34 ans ou
moins (57%), les femmes (55%), ceux qui supportent Québec Solidaire (56%) ou
ceux qui supportent, au fédéral, le Parti Vert (56%) ou le NPD (59%).
Plus de la moitie déclarent que le
rapport n’aura aucun effet
Plus de la moitie (BTM2 : 57%) disent qu’il
n’est pas très ou pas du tout probable que le rapport du commissionnaire ait un
effet sur leur intention de vote, avec 4 sur 10 (40%) qui disent qu’il n’est
pas du tout probable que ce rapport ait un effet.
4 sur 10 (TOP2 : 43%) disent que le rapport
aurait probablement ou très probablement un effet sur leur intention de vote,
avec un quart (23%) indiquant qu’il est très probable que le rapport ait un
effet.
Les répondants les plus susceptibles de dire qu’il
n’est pas très ou pas du tout probable
(BTM2) que le rapport du commissaire ait une influence sur leur intention de
vote sont ceux âgés de 65 ans et plus (64%), ceux qui supportent le Parti
Liberal du Québec (80%), ceux qui supportent les Libéraux au fédéral (83%), les
anglophones (69%) et ceux qui ont un revenu familial entre 40 000 $ et 60 000 $
(64%) ou entre 80 000 $ et 100 000 $ (63%).
Les répondants les plus susceptibles de dire
qu’il est un peu ou très probable (TOP2) que le rapport ait une influence sur leur
intention de vote sont ceux entre 35 et 44 ans (51%), ceux qui supportent les
conservateurs au fédéral (61%), ceux qui habitent le Ville de Québec (55%) et
ceux qui ont un revenu familial annuel de 20 000 $ ou moins (53%).
Parmi ceux qui disent que ce
rapport affecterait probablement leur vote…
Parmi ceux qui ont indiqué que le rapport affecterait
probablement leur vote (TOP2), un tiers (32%) disent qu’ils sont plus probables
de voter Conservateur.
Un-cinquième (21%) disent qu’ils sont plus probables
de voter pour le Bloc Québécois.
1 sur 10 (11%) disent qu’il est plus probable
qu’ils votent pour le Parti Vert, une proportion similaire que ceux qui disent
qu’il est plus probable qu’ils votent pour les Libéraux (8%), ou un autre parti
(8%).
1 sur 10 sont incertains.
«Les Québécois ont
porté attention au rapport du commissaire sur SNC-Lavalin. Ils déclarent qu'ils
le connaissaient mieux que jamais», a déclaré Luc Dumont, directeur général de
la division est de Forum Research. «Mais la majorité déclarent qu’il est peu probable
que leur intention de vote soit affecté. En fait, il semble que la question de
SNC renforce le soutien existant plutôt que de déplacer les votes vers d’autres
partis."